Pourquoi j'ai bien aimé "Sound of freedom" et trouve honteux "Avant que les flammes ne s'éteignent"
Alors avant de parler (un peu) de "Sound of freedom", que j'ai pu voir le jour de sa sortie, juste un mot sur un film honteux, que je n'ai certes pas vu, mais qui au vu de son synopsis, de la bande annonce, peut montrer qu'on est encore très loin d'être tirés d'affaire avec ce camp moisi de la pseudo bien pensance.
"Avant que les flammes ne s'éteignent" donc, raconte l'histoire fictive, en France, d'un type des banlieues d'origine étrangère qui serait mort naturellement lors d'une interpellation policière, mais sa famille accuse la police de l'avoir tué.
Cela ne rappelle rien?
Et ben si, car plus de deux mois après le non lieu sur l'affaire Adama Traoré (mais le mal est fait, car on s'est bouffé plus de 5 ans de propagande anti flics, voire anti France et pseudo antiraciste de la part d'une mafia de délinquants qui ont pu faire quasiment ce qu'ils voulaient, surtout se faire passer pour des victimes)
Et malgré le non lieu, ce n'était sans compter sur cette bande de tocards pour nous faire rappeler à quel point la police et la France sont "racistes"/"segregationniste". (Juan Branco entre autres, je n'oublie pas)
Cette bande de pourris gâtés qui dans leur beau confort, osent souiller le pays dans lequel ils vivent.
De laveurs de cerveau à répandre une idéologie malsaine à critiquer tout ce qui est français, ses institutions, sa population, et son histoire, tout serait mauvais... sauf les gens issus de l'immigration qui auraient tout fait pour reconstruire la France.
D'ailleurs, on a un exemple pas plus tard que dans la semaine dernière, avec Moundir, ce gus célèbre parce qu'il était un imbécile dans l'émission Koh Lanta, et ce personnage continue son chemin avec cette étiquette avec plus ou moins de succès.
Et bien, on en entendait plus parler depuis un moment mais il a fallu un buzz immonde où dans une emission de TPMP, il lit face à Élisabeth Levy (essayiste, chroniqueuse...) une lettre dans laquelle Moundir s'excuse et excuse les musulmans... d'avoir "sauvé la France durant le seconde guerre mondiale... ou l'avoir reconstruite pendant les trentes glorieuses..."
Tout un ramassis d'inepties, avec une condescendance plutôt folle où on a notre orateur qui ordonne à son interlocuteur de le regarder, alors que lui même passe son temps sur "son" texte...
On verra plus tard que ce texte était juste un post de 2020 sur Facebook de quelqu'un d'autre.
Et, peut-être rare moment chouette de TPMP, le lendemain de ce moment dingue, on a Juliette Briens, qu'on présente comme influenceuse de droite (qui participe à l'émission de radio "Ligne droite" de Radio Courtoisie et au journal "L'incorrect"), qui remet les pendules à l'heure et juste enterre ce pauvre Moundir six pieds sous terre (ben qui sème le vent récolte la tempête... bon je vais arrêter avec les expressions, mais ce type l'avait bien mérité!)
Et ce passage devrait permettre de sérieusement questionner toutes les personnes qui ont dans la tête ces idées préconçues et fausses à laquelle la France doit son salut aux étrangers musulmans, et que ces derniers sont des martyrs persécutés dans notre pays.
Tout en soulignant qu'ils ont certes contribué à quelque chose, mais en faire des caisses et réecrire l'histoire comme le texte repompé par Moundir, ce récit nauséabond qui est maintes et maintes fois dit par tout un tas de connards et autres saloperies de la bien pensance, qui prétendent nous informer, qui veulent nous gouverner, cela suffit!
C'est absurde!
Voilà donc revenons à ce film de merde, certes je ne l'ai pas vu, mais film de merde car veut véhiculer encore une fois, une pensée bidon et dangereuse, à mettre les mêmes en victimes, et les autres en tant que mauvais à éradiquer. (et à travers une fiction, en nous prenant pour des cons parce que forcément on verrait les allusions... ce n'est pas un film, bien qu'il partage avec Sound of freedom le fait que ça s'inspire de faits réels, et veut dénoncer quelque chose, c'est pour moi de la propagande bien crasse pour les Traoré, ces pseudo victimes des cités, voire même la gauche qui les défend!)
Pourquoi vit-on désormais dans une société qui veut nous forcer à bouffer et ingérer des choses dont on ne veut pas? C'est fou!
Preuve en est de son box office.
Puisque vu de ses entrées au cinéma, il ferait un four, ce qui serait largement mérité.
On sait aussi que nos impôts ont contribué à cette daube.
C'est fou la tonne d'argent qui part dans des trucs aussi honteux et après on te dit qu'il n'y a pas d'argent pour telle ou telle cause utile!
Et enfin, cet escroc de Camélia Jordana, qui a du bien comprendre qu'on s'en fout de sa musique et qu'être activiste rapporterait apparemment bien plus. (J'avais déjà dit ça dans un vieil article)
Qui encore une fois se fait passer pour une victime, mais passe partout pour diffuser ses messages de merde...
"Les cons, ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait" pas vrai?
Je n'en peux plus de ce clan du soit disant bien.
Passons maintenant à ce "son de la liberté".
J'en avais parlé lors de sa sortie outre Atlantique.
Ce film doit son succès à cet énorme campagne de dénigrement de toutes parts de certains gros média.
"Navet" admiré des "complotistes" (bizarre que cela ne s'applique pas au film avec Jordana, vu que c'est fortement basé d'une théorie de complot réelle, au vu du non lieu), que ce soit aux États-Unis lors de sa sortie en juillet dernier qu'en France suite à son succès surprise que depuis quelques semaines à sa sortie dans nos cinémas.
Distribué en France par l'entreprise Saje, le film n'a que peu de visibilité, et au vu de certains articles, certains cinémas ne seraient pas enclin à le diffuser.
Et... je me dis qu'après avoir vu le film, est-ce qu'il aurait eu autant de succès sans cette mauvaise publicité?
Parce que j'ai vu des choses ça et là, comme si le film raconterait des choses incroyables que ce soit vraies ou non, puis, durant cet été avant sa sortie ici, je suis tombé sur un certain article qui disait que le film était "soft".
C'est là que je ne devais pas avoir des attentes de dingue.
Et effectivement, celà ne raconte "que" cette histoire basée sur la vie de Tim Ballard, qui tente de sauver deux enfants, quitte à vouloir démanteler un réseau de pedocriminels.
Mais le film le fait bien.
Il n'y a rien d'exceptionnel avec des potentiels révélations sur des dirigeants, non, rien de tout ça.
Il traite d'un trafic bien lucratif dont on parle peu.
D'ailleurs, contrairement à des médias comme Liberation ou BFM TV qui eux balance leurs biles complotistes, on a des plus "modérés" comme Le point ou Le monde, qui expliquent ce qu'il y avait de complotiste (ce que disait l'acteur principal du film, Jim Caveziel, sur l'adénochrome, lors d'une cérémonie il y a quelques années... ça m'a l'air bien étrange, mais bon, faut-il condamner le film pour ça? J'en doute.
Puis petit point intéressant sur quelques roles de l'acteur, on le présente certes comme le Jesus du film "La passion du Christ" de Mel Gibson, ce dernier a d'ailleurs participe à "Sound of freedom", mais Caveziel a aussi été l'acteur principal de la série "Person of interest", dans les années 2010, dans lequel il incarne un agent recruté par un type assez obscur mais ayant conçu un système informatique de surveillance, et qui detecte potentiellement des personnes en danger ou qui commetent un crime... soit quelques années avant ces histoires sur les vidéos surveillance intrusives et l'IA...)
On a quand même de la part du point, et d'autres quelques allusions assez mal placés aussi, comme si, par exemple, des entreprises de cinéma chrétiennes, à savoir Angel Studio qui a produit la film et Saje qui le diffuse en France, n'avaient pas le droit de s'associer.
Il y a des phrases un peu tordues en tout cas, je trouve...
Mais je peux comprendre qu'on ne puisse pas aimer le film, peut-être en attendant trop de celui-ci au vu des critiques virulentes.
Je trouve que le film est plutôt bon, le casting est solide, mention spéciale aux deux enfants qui sont plus mis en avant.
Il ne faut pas s'attendre à un film d'action, il y a très peu de scène d'action, c'est un thriller, une histoire qui tient en haleine.
Ni à des scènes suggestives, mais je préfère ça à me mettre des images dans la tête, il ne suffit pas de voir des scènes de meurtres pour savoir que c'est horrible. Mais pour choquer et vouloir secouer des conscience, pour certaines personnes, c'est le cas.
On a donc des scènes bien pensées qui parfois expliquent une chose horrible sans la montrer, le simple fait d'y penser est assez donc, pour moi ne rend pas le spectateur idiot. (ou alors pour atteindre un plus large public, voire ne pas se casser les dents avec un film trop violent... ou par manque de courage, au choix)
Ou loin dans le film on montre la vision d'une scène à travers celle d'un enfant.
Et encore cela fonctionne plutôt bien.
On a des petites scènes assez émouvantes aussi, et de rares allusions à la religion catholique.
Tout est juste en fait, sans être un chef d'oeuvre, il ne fait pas des caisses.
Donc c'est pour ça que je me demande si ce film aurait eu autant de succès sans cette mauvaise presse qui a fait pousser le public à le voir.
Et ce qui m'a surpris, après l'avoir vu est une remarque de Greg Tabibian, qui a sa chaine YouTube J'suis pas content, avec sa revue d'actu avec humour, entre autres formats, passe aussi dans l'émission Bistrot Libertés de la chaîne YouTube TVLibertés.
Ben dans cette dernière, qui invitait Karl Zero suite à ce film, et comme la pedocriminalité est le cheval de bataille de l'ancien animateur phare de Canal +, Greg avait une remarque très intéressante sur le film à savoir "quelle différence entre "Sound of freedom" et "Taken"?".
Ça m'a choqué mais oui, quelle différence, car on a beau faire des mêmes du personnage de Liam Neeson quand il menace les ravisseurs de sa fille, "Taken" parle quand même d'une ado/jeune femme qui se fait enlever par une organisation qui vendent leur victimes comme objets sexuels.
Mais on ne retient que Neeson qui menace et trucide ses ennemis de manière bad ass!
Enfin bon, pourvu que "Sound of freedom" rencontre un succès ici, quand je l'ai vu, la salle était assez remplie.
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