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Affichage des articles du 2025

Pourquoi je ne finirai probablement jamais le jeu Clair Obscur : Expedition 33

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Alors c'est peut-être la première fois que je fais cet exercice, donc la première fois que je mets un message d'alerte : si jamais vous lisez ceci et que vous avez aimé le jeu vidéo Clair Obscur : Expédition 33, ne lisez pas ce que je vais écrire, vous risquerez de péter un câble. C'est peut-être difficile à croire, à comprendre mais je vais quand même essayer d'en parler : Lorsque le jeu vidéo Clair Obscur : Expédition 33 fut présenté pour la première fois, il me semble qu'il tapait déjà à l'œil de gamers ayant besoin de fraîcheur, marre de gros jeux répétitifs, qui se ressemblent, voire devenant aseptisés ou portant des messages politiques inutiles ou absurdes. Pourtant on voyait dans ce jeu de rôle, comme s'il venait d'une autre époque, avec un système de jeu qu'on voit rarement, les combats au tour par tour. Mais comme cela à permis à rendre populaire un jeu comme Persona 5, venant d'une série qui date mais confidentielle avant sa sortie. Pui...

Pourquoi j'ai bien aimé "Tu ne tueras point"

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Film de guerre de Mel Gibson de 2016... 2016, déjà?! Mais pourquoi le temps passe si vite? Bref... ce film met en scène Andrew Garfield dans le rôle de Desmond Doss, un jeune catholique américain, durant la seconde guerre mondiale. Il veut s'engager en tant qu'aide médicale et chose rare, sans vouloir utiliser une arme pour se défendre. Ce qui lui causera des soucis lors de son entraînement, dans l'incompréhension de l'armée, que ce soit les haut gradés que d'autres soldats qui partagent son camp. Malgré les efforts des hauts gradés à faire dégoûter Desmond de la guerre, ce dernier joint une bataille au Japon, sur Hacksaw Ridge, titre original du film au passage. Et dans cette terrible bataille, face à des adversaires japonais coriaces, Desmond qui était vu comme un boulet, se révélera petit à petit comme un allié d'un poids inestimable, puisque lors de la retraite du camp américain, Desmond lance à un appel à Dieu et se décide de rapatrier les soldats blessés p...

Pourquoi j'ai bien aimé "Little Children"

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Un samedi soir, je me suis permis de revoir un certain film d'action (Nobody avec Bob Odenkirk en tête d'affiche, ce dont je pense personne ne voyait venir se bastonner seul face un gang russe à la John Wick... ok pas tout seul, puisqu'il se fait aider à la fin du rappeur RZA et de Christopher Lloyd, vraiment un casting auquel je ne m'y attendais pas pour un tel film. J'aime bien ce film, ça fonctionne pour moi d'ailleurs, c'est fun, avec quelques bonnes scènes d'action et bonnes repliques, les motivations des personnages sont simples mais efficaces, personnages intéressants... ce qui me surprend plus, c'est qu'une suite sortira cet été, je n'étais même pas au courant du projet, je suis juste tombé sur la bande annonce, comme quoi on peut avoir des surprises et ça fait du bien de ne pas être systématiquement au courant de tout, voire d'être blasé Par contre, j'ai peur de voir la suite de trop, avec peut-être des scenes d'actions m...

Pourquoi j'ai bien aimé "La mélodie du bonheur"

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"La mélodie du bonheur" est le genre de film que je connais juste de nom sans rien connaître d'autre.  Puis entre un GIF qui détourne une scène (on voit le personnage principal qui à la base chante sur une colline tournant les bras droits perpendiculaires au reste du corps, avec cette fois une mitraillette à chaque main... oui parfois, un rien peut me fait rire) et le fait de tomber sur le bluray en magasin m'a donné envie de le voir. Je le prends. Comme avec pas mal d'autres films dont je ne sais rien, je m'attends à tout, déjà le film est long (près de 3 heures), puis soit c'est un bon film, soit un film de plus acclamé de partout qui ne me plait pas.  Des mois plus tard, après pas mal de films vus ou revus, le dernier étant "Au revoir à jamais", vu pour la première et sans doute dernière fois, avec Geena Davis (Thelma et Louise...) et Samuel "motherf*cker" L.Jackson...  au passage, j'ai vu de bonnes critiques que je ne comprends ...

Pourquoi je n'ai pas aimé "Sur la route de Madison", ni "True Romance" (entre autres sur la romance)

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Alors j'ai beau vouloir parler de pas mal de films, je pense que je dois être sacrément compliqué, je veux dire, y a pas mal des films encensés que je n'aime pas... ce coup-ci, je vais parler de pas mal de films de romance, en ce jour de non-Saint Valentin (parce que l'amour doit se fêter chaque jour... paie ta phrase qui ne veut rien dire XD) Il y a parmi cette liste, deux films que je vois qualifiés de très bons voire cultes : j'ai souvent entendu parler de " True romance ", ce film écrit par Quentin Tarantino, mais réalisé par quelqu'un d'autre, Tony Scott. Puis j'ai cru comprendre que la fin était differente du script de base. Mais le film en lui-même est, d'après pas mal de monde, culte. Et à chaque fois que je vois ça pour un film, je lui donne sa chance et je tombe dans le panneau pensant voire au mieux un bon film, pour voir finalement... une sacrée bouse! Et mon Dieu que je trouve ce film mauvais! Alors il y a des choses qu'on voit...

Pourquoi il ne faut surtout pas idolatrer les célébrités (Grammy 2025 est une sacrée mauvaise farce)

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Il y a eu les Grammy le week-end dernier, l'équivalent américain des Victoires de la musique française, youpi... Mais si, les récompenses dans le domaine musical... D'ailleurs, ça existe toujours en France? Ca fait tellement longtemps que ça ne m'intéresse plus. Puis pour célébrer quoi? Vu ce qui fonctionne actuellement... Des sons insultants censés représenter la musique urbaine, avec des sonorités africaines ou venant d'Amérique latine? Ou des bourgeois gauchistes avec leurs discours binaires pour les migrants, les minorités et blablabla... comme si on vivait dans une dystopie avec toujours les vieux méchants hommes blancs hétéros d'un côté et tout le reste formant un clan opprimé de resistance en face... mon Dieu... Rien que pour ça, il faut arrêter d'idolatrer ces gens célèbres de l'industrie du disque et du divertissement en général. Ce sont, visiblement en majeur partie hélas, des gens  pensant être le nombril du monde, il suffit de voir une époque où ...

Pourquoi j'ai adoré "Cashback"

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Depuis le temps que je voulais parler de ce film... puis après avoir pondu un long pavé sur pourquoi j'ai été déçu par le récent " L'amour au présent ", je pense que je serai plus bref sur un film qui m'a pourtant beaucoup plus plu... je pense que ce sera bref... bon, je ne promets rien! Ce film est réalisé par Sean Ellis, c'est adapté d'un court-métrage, et c'est sorti en 2006... ...durant la période où je découvrais énormément de films, qu'il me fallait une carte illimité. Avant 2005, j'en regardais que trop peu (vraiment trop peu), depuis je voyais plein de films dont on ne parlait pas forcément dans les medias, qui étaient pour la plupart de sacrées pépites, et qui méritent d'être vu, d'être mis en lumière. Il arrive aussi de tomber sur des déceptions bien sur, mais c'est le risque, c'est comme avec tout. Mais ouais, je suis tombé sur des pépites comme "Les fils de l'homme", "Lord of war", "Le de...

Pourquoi j'ai été déçu de "L'amour au présent"

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Sorti le 1er janvier en cette année 2025, le film romantique "L'amour au présent" met en scène Andrew Garfield (Tobias) et Florence Pugh (Almut). Ils jouent un couple, qui comme dans pas mal de films de ce genre, traverse des hauts et des bas. En voyant la bande annonce, j'étais fortement intéressé! Je voyais une forte alchimie entre les deux personnages, de belles images, et potentiellement une belle romance (qui commence de manière comique, on voit qu'ils ont une fille, que Almut doit combattre une maladie...) Et franchement je m'attendais à tout, sauf à ce que ce que je viens de voir dans les salles obscures! Déjà, le film tente de se différencier dans son montage, non linéaire. On commence donc avec le couple déjà ensemble, installé dans une maison de campagne. Puis parfois on remonte dans le temps, parfois, on va plus loin, après. Ce qui aurait pu être pas mal, notamment au début où j'ai pu etre un peu induit en erreur (on ne connaissait pas le nom d...

Pourquoi la mort de Jean-Marie Le Pen montre certains traitements intéressants

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En ce mardi 7 janvier 2025 est décédé un homme qui a marqué la politique française. Jean-Marie Le Pen avait 96 ans. Participant à la fondation du Front national, parait-il (en fait non... parti qui sera rebaptisé Rassemblement national par sa fille Marine), il était député à l'assemblée nationale, entre autres, et candidat à la présidentielle de la république française 5 fois dont cette fameuse fois en 2002 où il est passé au second tour (faudra-t-il autant de fois pour sa fille? J'ai comme l'impression que l'histoire se répète. Je dis ça avec cette éternelle sortie des castors pour faire "barrage à la haine" et pendant ce temps le pays se meurt, n'a plus de repère, mais je vais en parler plus bas) Ce qui m'a donné envie de taper ces lignes est que suite à certaines choses que j'ai vu sur lui aujourd'hui, des sujets sur le journal de 13h de tf1 dont l'info venait de tomber, qui se veulent neutres, dont un qui s'attarde sur ces contrever...